SNIM : un premier semestre 2023 révélateur !La Dépêche - La SNIM a entamé, en juin dernier, les premières phases de préparation à l’exploitation de la nouvelle mine de F’derick qui devrait ajouter à sa production minière deux millions de tonnes de minerai riche.
L’entreprise, qui affiche un objectif de vente de 14 millions de tonnes en 2023, semble être sur la bonne voie après avoir écoulé sur le marché, au 30 juin, 6,781 millions de tonnes de minerai de fer. C’est dire que les résultats semestriels de la production permettent déjà d’entrevoir avec optimisme le bilan de la production de l’entreprise en fin d’année.
Les ventes se caractérisent notamment par la diversification stratégique des clients opérée par l’entreprise. En effet, la répartition géographique des livraisons de la Société durant le premier semestre semble bien traduire cette stratégie commerciale : la Chine (42,7%), l’Algérie (24,5%), l’Europe (19, 3%), l’Australie (8,4%), le Japon (5,1%).
A l’origine de cette embellie dans la production, il y a sans doute l’investissement consenti par l’entreprise dans ses ressources humaines (recrutement, formation et amélioration de leurs conditions de vie…).
Il y a également pour justifier cette productivité, la mise à disposition d’équipements performants dans l’extraction minière mais aussi l’amélioration de la chaîne de valeur (chemin de fer, port minéralier, chargement, usines, électricité…)
L’entreprise, qui affiche un objectif de vente de 14 millions de tonnes en 2023, semble être sur la bonne voie après avoir écoulé sur le marché, au 30 juin, 6,781 millions de tonnes de minerai de fer. C’est dire que les résultats semestriels de la production permettent déjà d’entrevoir avec optimisme le bilan de la production de l’entreprise en fin d’année.
Les ventes se caractérisent notamment par la diversification stratégique des clients opérée par l’entreprise. En effet, la répartition géographique des livraisons de la Société durant le premier semestre semble bien traduire cette stratégie commerciale : la Chine (42,7%), l’Algérie (24,5%), l’Europe (19, 3%), l’Australie (8,4%), le Japon (5,1%).
A l’origine de cette embellie dans la production, il y a sans doute l’investissement consenti par l’entreprise dans ses ressources humaines (recrutement, formation et amélioration de leurs conditions de vie…).
Il y a également pour justifier cette productivité, la mise à disposition d’équipements performants dans l’extraction minière mais aussi l’amélioration de la chaîne de valeur (chemin de fer, port minéralier, chargement, usines, électricité…)
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