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محمدي موسى تابع على تويترأرسل بريدا إلكترونيا أعلن المدير العام لشركة «معادن موريتانيا» حمود ولد امحمد، اليوم الخميس، أنه يتوقع أن يصل إنتاج التنقيب الأهلي عن الذهب إلى 36 طنا من الذهب الخالص سنويا في أفق عام 2023. وأكد ولد امحمد أن هذه التوقعات تؤكدها «المعطيات الفنية المتوفرة لدى شركة معادن موريتانيا». مدير شركة «معادن موريتانيا» كان يتحدث أمام «صالون المدونين»، وقال إن الشركة أتاحت للمستثمرين المحليين فرصة تأسيس مشاريع استثمارية في التنقيب الأهلي عن الذهب، فمنحت 91 رخصة لمنجم صغير. وأوضح ولد امحمد أن تأسيس منجم صغير يتطلب خبرة دولية، واستثمارا ماليا كبيرا في حدود عشرة ملايين يورو، وذلك من أجل «ضمان جدوائيته». وقال إن طواقم وزارة المعادن تعمل على إعداد قانون الاستثمار المعدني، وذلك من أجل «إدخال جملة من المحفزات لجذب المستثمرين، وخاصة المستثمرين الموريتانيين الذين لهم امتداد في الدول الشقيقة ذات الخبرة في المجال مثل السودان وتركيا». وكشف المدير العام للشركة وجود 3200 منقب عن الذهب في مناطق من ولاية الترارزة، جنوبي البلاد، ومناطق بالقرب من أوجفت بولاية آدرار، والمجرية في ولاية تكانت. وأضاف أن الشركة تعمل على «توسيع نشاطها نحو هذه المناطق عبر افتتاح مركز للمعالجة ومكتب للمتابعة الفنية والإدارية». وأكد المدير العام لشركة معادن موريتانيا على أهمية التنقيب الأهلي عن الذهب، وقال إن تأثيره الإيجابي على الاقتصاد الموريتاني «واضح للعيان». وأضاف أن التنقيب يوفر لمئات الشباب العاطلين عن العمل فرص عمل، كما يستفيد منه مقدمو خدمات الغذاء ومقدمي مختلف الخدمات، وجميع أنواع اليد العاملة، مشيرًا إلى أنها «وجدت في التنقيب آفاقا ومداخيل كبيرة للغاية»، على حد تعبيره. موريتانيا تتوقع إنتاج 36 طن ذهب سنويا عبر «التنقيب الأهلي» (saharamedias.net) Financial Afrik -
Le ministère du Pétrole, de l’Energie et des Mines présélectionne 5 candidats pour la réalisation d’une évaluation environnementale et sociale stratégique du secteur des hydrocarbures en Mauritanie (EESS). Ainsi, le consortium The Ciera Group (Canada) ; Strategia Worldwide dirigé par Sir Richard Shirref, général britannique à la retraite qui occupa des hautes fonctions au sein de l’OTAN, et le Nouakchottois Meen&Meen – pionnier dans le domaine du consulting en matière d’hydrocarbures en Mauritanie – sera en concurrence avec le portugais Nemus ; les britanniques Xodus et RSK Environment Limited ainsi que le malien ID Sahel qui entend emboiter le pas à son compatriote Kanaga Consulting gagnant en mars dernier dans l’attribution du contrat du développement d’une stratégie pour la création de contenu local dans le secteur de l’industrie extractive (pétrole-gaz et mines) en Mauritanie. Ces cinq concurrents ont été shorlistés suite à un appel à manifestation d’intérêt lancé le 10 mars 2021. Quinze groupements et entreprises avaient manifesté leur intérêt pour le marché la réalisation d’une évaluation environnementale et sociale stratégique du Secteur des Hydrocarbures en Mauritanie (EESS). Le résultat attendu de l’EESS consistera, selon le ministère du Petrole, de l’Energie et des Mines, en une série de mesures concrètes concernant le secteur des hydrocarbures afin de répondre aux besoins en matière de protection environnementale ; d’assurer le bien-être des populations locales et d’identifier clairement les responsabilités institutionnelles, administratives du gouvernement, du secteur privé et de la société civile ainsi que les collectivités territoriales. Par Samba Camara Al-akhbar
Le juge d'instruction près du tribunal de la wilaya de Tiris Zemmour, dans le nord du pays, a décidé de placer deux policiers sous contrôle judiciaire pour une période de deux mois, indiquent nos confrères d'Alakhbar. Les deux flics sont accusés d’avoir confisqué par escroquerie, une quantité d’or estimée à 82 grammes à un orpailleur, ajoute Al-akhbar. Par La rédaction de Cridem, avec Al-akhbar Alakhbar -
Lettre adressée aux travailleurs de la raffinerie : Nous avons raté de raffiner le pétrole de CHINGUETTI et aujourd’hui on fera de même pour le gaz de Ahmeyim ! Mes chers collègues, J’ai été très heureux de travailler avec chacun d’entre vous et vous souhaite le meilleur pour l’avenir. Comme vous le savez, la Direction Générale de la SOMIR a mis fin à mon contrat suite à l’article que j’avais publié sur la raffinerie. Il faut ici préciser que l’article N°7 de ce contrat stipule que « tout différend que les parties ne pourraient pas régler à l’amiable sera soumis aux juridictions compétentes ». Ce genre de comportement me laisse indifférent par ce que j’ai suffisamment de moyens pour me défendre si j’en aurais besoin, mais je me sens frustré à cause du sort de nos enfants qui doivent vivre avec ce genre d’injustice pour longtemps encore. L’institution ‘’Défenseur des droits’’ comme celle en France n’existe pas chez-nous. Elle a pour rôle de régler les litiges liés au mauvais fonctionnement du service public et de l'administration. Nous sortons d’une décennie difficile et certains de nos responsables mettront du temps pour se mettre au pas. Les pratiques ont été telles que, comme le disait le proverbe maure, ‘’ce qui tuait ne fait plus honte’’. Même l’ancien président de la république s’était choisi la voie de l’enrichissement frauduleux et le peuple n’avait pas besoin de commission parlementaire ou d’enquête judiciaire pour s’en persuader. Le pays est ‘’trop petit pour cacher ces choses’’. En Afrique, selon le Rapport 2020 des Nations Unies sur le développement économique, les flux financiers illicites transfrontaliers coûtent aux pays africains une cinquantaine de milliards de dollars par an, bien plus que l’aide publique au développement que le continent reçoit chaque année. Les flux financiers illicites privent les trésors publics de nos pays des ressources nécessaires au financement des dépenses de développement et freinent leur croissance. La politique que nous avons vécu durant cette décennie noire nous a conduit à une congestion sociale et ethnique sans précédent. Pourtant, comparativement à l’Indonésie avec 1110 ethnies et 700 langues actives, on se trouve dans une situation idéale. Elle a fait de sa diversité sa devise nationale "Unité dans la diversité". Le fait d’être un pays pluriethnique et multilingue n’est pas un obstacle en soi mais plus tôt une force si une politique transparente basée sur l’équité et l’égalité des chances est adoptée. Le chômage bat son plein. La main-d'œuvre étrangère inonde le marché local et nous sommes devenus au cours de ces dernières années une source d’exportation de devises à l’étranger par l’intermédiaire du marché de l’emploi et de prestations au détriment de notre pays. La création de centres de formations techniques en langues nationales aurait pu permettre aux jeunes de se former rapidement sur les différends métiers (plomberie, électricité, mécanique, soudure métallique, maçonnerie etc…). Ici, je donne comme exemple le fait d’avoir fait travailler, sur des pipes d’hydrocarbures, des soudeurs sénégalais homologués par SGS qui ne savaient ni lire ni écrire. Cette politique aurait pu contribuer à la lutte contre le chômage, la pauvreté, la dépravation et particulièrement la criminalité. Notre pays s’est mal préparé pour la zone de libre-échange continentale africaine que nous avons ratifié et qui doit démarrer bientôt. Le pouvoir actuel hérite d’un grand fardeau. Face à l’inadéquation de la pauvreté de la population par rapport à l’abondance de nos ressources extractives et la déconfiture du secteur industriel, le secteur tertiaire de l’économie n’est pas de bonne augure particulièrement pour les PME sensées stimuler la croissance et l’emploi. Elles souffrent déjà, avant l’intégration à ce marché africain, de règles de jeu hypocrites. On exige pour tous les prestataires nationaux des critères sévères tels que le niveau élevé du chiffre d'affaires, du capital, d’expériences similaires etc… au point où l’on se demande s’il existe réellement une politique nationale de promotion de l’initiative privée chez nous. Face à cette situation, ce sont les entreprises étrangères (chinoises, sénégalaises, tunisiennes etc…) qui répondent le mieux à nos critères de passation de marché et finalement ce sont-elles qui gagnent le jackpot. Comme disent les maures « Au moins, ils n’ont qu’à partager avec nous ». On nous faisait miroiter, durant les années passées, des indicateurs de développement économiques élevés, alors qu’en réalité, c’étaient les indicateurs de pauvreté qui étaient en hausse chaque année avec une augmentation fulgurante de la dette extérieure. Ces indicateurs s’expriment par le pourcentage de personnes en deçà du seuil de pauvreté, le pourcentage de chômeurs, l’exclusion d'une partie de la population, le taux d'illettrisme des adultes etc… Pour la raffinerie de Nouadhibou, nous avons vu dans le précédent article (voir lien en bas de la page) comment elle avait été stigmatisée à tort par certains de nos responsables. Mais cela n’avait pas empêché les autorités de continuer à financer la SOMIR par des centaines de millions d’ouguiya pour son entretien (de 2002 à 2010) sur le compte du contribuable. Malheureusement cette maintenance est restée littéralement absente au fil des années. L’une des réactions salutaire à ma campagne pour la raffinerie était celle du CMJD en 2005 par la nomination d’un Ingénieur de pétrole à la tête de la SOMIR. Il a eu juste le temps de réaliser une étude sur la raffinerie par le bureau Canadien CIMA-OPTEC avant d’être remplacé. En 2010, ayant vu venir l’option de son abandon total, j’ai adressé une lettre ouverte au président de la république dans laquelle j’avais souligné que le coût de sa réhabilitation n’était que de 30 millions de dollars selon le bureau Canadien CIMA-OPTEC. Deux mois plus tard, la décision fatidique de son abandon fût prise avec le désengagement total de l’état envers la maintenance des installations. Cette option ne faisait référence à aucun avis technique. Aujourd’hui l’usine après toute cette période d’abandon, a besoin d’être mise dans des conditions acceptables en terme de nettoyage, peinture, entretien et sécurité avant qu’on puisse discuter de son sort. En tout cas, il n’est pas dans l’intérêt de la SOMIR, de présenter aujourd’hui une usine délabrée, au risque de porter atteinte à son professionnalisme et à sa renommée. La raffinerie dispose d’une unité de traitement de gaz muni de 4 sphères de stockage et d’un port pétrolier. Face à la production de gaz en 2023, devons-nous nous débarrasser de cette unité? Quel gâchis ! L’histoire se répète et se ressemble. Nous avons raté de raffiner le pétrole de CHINGUETTI et aujourd’hui on fera de même pour le gaz de Ahmeyim ! En d’autres termes au moment où nous produisons du gaz GPL en offshore, notre pays continuera à importer du butane pour nos foyers. Mes chers amis, je vous quitte avec l’amertume de n’avoir jamais pu être entendu sur le problème de la raffinerie mais je pense que nous devons tous agir en synergie avec notre département pour lui trouver une issue honorable. Je vous salue. Ci-joint le lien du précédent article sur la raffinerie : http://www.fr.alakhbar.info/16075-0-Demantelement-de-la-raffinerie-de-Nouadhibou.html El Hadj OULD SIDI BRAHIM Ingénieur d’Etat en Raffinage-Pétrochimie Ancien Chef de Production avec la société algérienne NAFTAL Ancien Directeur Technique de SOMIR Sahara Médias -
Le commissariat de police de la ville de Zouerate a ouvert une enquête à propos du vol effectué par des inconnus contre un commerçant du marché noir de l’or dans la ville. Le correspondant de Sahara Medias, citant des sources bien informées rapporte que l’enquête ouverte par la police concerne le vol d’une somme de 30 millions d’ouguiyas et quelques kilogrammes d’or. Les mêmes sources révèlent que des inconnus se sont introduits samedi dans le domicile d’un commerçant opérant dans le marché noir de l’or, ont emporté un montant de 30 millions d’ouguiyas et 3kg d’or avant de prendre la fuite. Le marché noir de l’or est particulièrement actif dans la ville de Zouerate au moment où les autorités administratives déploient d’importants efforts pour l’éradiquer avec le concours des syndicats et les responsables des concasseurs. Malgré les efforts déployés le phénomène persiste encore dans cette ville du nord de la Mauritanie. Ce 22 mai 2021, s'est tenue un petit forum organisé par l'association Conseil des jeunes leaders en Mines (ou Young Mining Leaders Council ou YMLC) dans la salle de conférence du Patronat.
Outre le Patronat, cet évènement a pu avoir lieu grâce à l'appui de plusieurs entreprises privées du secteur minier dont certaines sont membres de la Chambre. Quelques conférenciers ont traité de différents sujets qui ont suscité des débats intéressants. Les sujets traités ont se sont faits autour de la thématique proposée de "La mine industrielle: opportunités et défis". Tels Dr Hamoud sur la Mine semi-industrielle, M. Soueilem sur l'importance du HSE dans l'industrie et l'exploitation minière, M. Vaida sur le les cadres offerts en Mauritanie pour la promotion de des activités commerciales de l'entreprenariat minier en Mauritanie ainsi que ses tenants et aboutissants, M. Sidi sur le traitement minier et leur impact environnemental, M. Sidi-Reyoug sur l'Uranium en Mauritanie. La Chambre des Mines et du Pétrole de Mauritanie a réitéré au YMLC son engagement d'appui à l'association comme elle avait encouragé puis béni sa création en 2018. « Un prêt de 20 millions de dollars d'IFC, dans le cadre d’une opération régionale d’un montant total de 230 millions de dollars, aidera Addax à financer l'importation de produits pétroliers au Bénin, en Côte d'Ivoire, au Sénégal et en Sierra Leone, ainsi que leur distribution au Burkina Faso, en Gambie, en Guinée, au Mali et au Niger », selon un communiqué de la Société financière internationale (IFC).
Il a été aussi convenu d’un commun accord d’un autre financement de 40 millions de dollars d'IFC. C’est dans le cadre d’une deuxième opération, également structurée par la Société Générale pour Addax. Le prêt « financera la totalité des importations et le transport de produits pétroliers de la Mauritanie pour les années 2021 et 2022 », renseigne le communiqué de la société. « Addax est la branche commerciale d'Oryx Energies S.A., l'un des plus grands fournisseurs indépendants de produits et services pétroliers et gaziers en Afrique », nous rappelle-t-on. « Nous sommes heureux et fiers de la confiance et du soutien accordés par IFC », a déclaré Stephen Paris, directeur administratif et financier d'Oryx Energies S.A. « Nos installations en Afrique de l'Ouest et en Mauritanie jouent un rôle clé pour assurer un approvisionnement compétitif et régulier en produits énergétiques et pétroliers essentiels à nos marchés dans la région. Grâce au soutien de nos partenaires bancaires, ces financements ont permis d’éviter toute rupture dans la chaîne d'approvisionnement énergétique, contribuant à la résilience des économies ouest-africaines durant la pandémie. » « Le dynamisme de l'activité économique repose sur un approvisionnement régulier en énergie. Le soutien d'IFC à ces deux facilités de crédit permettra aux entreprises et aux consommateurs d'Afrique de l'Ouest de disposer de carburant lorsqu’ils en ont besoin. Ces investissements arrivent aussi à point nommé alors que la région commence à se relever des graves conséquences économiques de la pandémie de COVID-19 », a souligné Aliou Maiga, directeur régional d'IFC pour l'Afrique de l'Ouest et centrale. Le prêt octroyé à la Mauritanie vient en complément d’un financement initial de 35 millions de dollars alloué l'an dernier par IFC dans le cadre de son mécanisme de financement accéléré de 8 milliards de dollars mis en place pour aider ses clients — et les milliers de petites entreprises qu'ils soutiennent — à surmonter les bouleversements provoqués par la pandémie. Ces financements d'IFC témoignent également de la stratégie du Groupe de la Banque mondiale visant à intensifier son appui au Sahel, une région durement touchée par les effets de la pandémie et confrontée, en outre, à d’immenses défis sécuritaires. Par La rédaction de Cridem Tasiast - Dans le cadre de son programme d’appui à l’environnement, Tasiast a lancé le 3 mai une campagne de nettoyage de 15 jours de la ville de Chami, mobilisant une cinquantaine de bénévoles et d’écoliers autour de moyens de collecte divers, d’engins ou de camions.
Cette campagne de nettoyage, qui sera suivie d´une action de sensibilisation à l´environnement, est mise en œuvre par l´Association ADEC (Action pour le Développement de l´Environnement de Chami) et financée par Tasiast à hauteur de 450,000 mru. Tasiast s´associe donc à nouveau aux actions que mène de front la commune de Chami depuis quatre ans face à l’afflux d’orpailleurs traversant la ville, pour mettre place les travaux de collecte et se déblayage nécessaires à l’évacuation des déchets devenus encombrants. En 2017 et 2018, la coopérative CDAD et l´Association ADEC avaient ainsi, avec l´appui de Tasiast, réalisé une collecte similaire de déchets. L´une, en mettant à disposition les bidons de ramassage et grillages nécessaires à la constitution de décharges et l´autre, en s´associant aux activités de nettoyage et sensibilisations requises pour une plus grande propreté de la ville. Des actions qui ont vu la participation d’écoliers et de 40 employés de Tasiast. Venus à l’occasion de la journée africaine de l’environnement, ces employés, "Ambassadeurs" de Tasiast s´étaient mobilisés pour une sensibilisation, se joignant aux nettoyage de la ville et à la plantation d´arbres. Le programme de sensibilisation à l´environnement et à la propreté des villes que soutient de nouveau Tasiast avec la mise en place d´une logistique de collecte adaptée aux besoins de Chami n’est toutefois pas le seul projet qu´ait soutenu la société. Depuis 2017, près de 2,21 millions de Mru ont en effet été dédiés aux moyens de collecte des déchets mis à disposition auprès des communes voisines de Chami, de Benichab et du Parc National du banc d´Arguin (véhicules trois roues, pelles, râteaux, bidons, masques, gants, main d’oeuvre …). En 2018 et 2019, un appui a aussi été accordé pour le nettoyage de plusieurs villes lors des festivités du 28 novembre (fête de l’indépendance). Lors de la cérémonie d´ouverture de la campagne, le maire de Chami, Mr Limam Ould Sidi, a donc remercié Tasiast, les autorités locales et partenaires présents, en soulignant : "Plus qu´une campagne, je souhaite une action durable en faveur de la propreté de la ville. Il faut un éveil, une sensibilisation des populations pour préserver la propreté de notre ville". C´est pareillement aux fins d´une action en faveur de l’environnement que Tasiast a soutenu des 2018 le programme mis en place dans le cadre de muraille verte avec le financement d´un forage d’eau entièrement équipé. En 2020, l’entreprise a également mis en place un programme appui au Parc du PNBA, en vue de soutenir cette réserve naturelle mondialement connue par la réalisation d’études, l’apport de moyens techniques et l´aide aux populations, dont notamment les coopératives Imraguen œuvrant dans la transformation du poisson. Sud Quotidien - Grand Tortue Ahmeyin : la mise à l’eau des premiers caissons effectuée (cridem.org)
Dans le cadre de la phase 1 du projet Grand Tortue Ahmeyin, la mise à l’eau des premiers caissons a été effectuée hier, mardi 18 mai, en présence du Ministre du Pétrole et des énergies Sophie Gladima accompagnée de son homologue mauritanien. Ces caissons formeront une brise lames en mer de 1, 2 km conçue pour fournir un abri à l’unité flottante de liquéfaction de gaz et aux installations d’exportation face aux conditions météorologiques et océanographiques actuelles. Chacun d’eux fait 54,5 mètres de long, 28 mètres de large et 32 mètres de hauteur et pèse 16000 tonnes. Ces caissons seront installés sur un lit de roche qui a été extrait en Mauritanie et transporté à travers le pays et le long de la côte. « Le caisson est une pièce maitresse du projet parce que si on n’a pas de protection, on ne peut pas travailler avec les intempéries et l’intensité des houles qui existent au niveau des frontières sénégalo-mauritaniennes. Actuellement. Ces caissons constituent le cœur du projet. C’est une infrastructure sans laquelle on ne peut pas réaliser d’autres travaux offshore. C’est pourquoi nous mettons l’accent sur la qualité de ces caissons pour que d’autres activités qui viendront après puissent se réaliser », a fait savoir l’ingénieur géologue Abdoulaye Niang project support manageur de Bp. Par ailleurs, il a souligné qu’à la fin du projet, les caissons resteront sur place au port. Ils agiront comme des récifs et seront des zones d’attraction de poissons et de reproduction. Ndeye Aminata Cisse |
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